Rencontré durant notre lancement de géocoeur, le Docteur Bruno Thomas-Lamotte, nous explique comment géocoeur s’intègre dans la chaîne des secours comme “un élément supplémentaire”
Le Docteur Bruno Thomas-Lamotte est le président d’ARLoD, l'association pour le recensement et la localisation des défibrillateurs.
“Dans toute la chaîne c’est un élément supplémentaire. Le premier point auquel il faut toujours revenir, c’est que les gens soient formés ou initiés pour reconnaître l’arrêt cardiaque et téléphoner au secours. Ceci est le point de départ et est très important, malheureusement la France est encore très en retard la dessus.
Ensuite, l’AFPR sait où est le défibrillateur. A partir de là, ils peuvent dire au témoin où se trouve le défibrillateur, envoyer un citoyen sauveteur et maintenant avec ce nouveau système, prévenir l'entreprise. Si les entreprises portent le projet on va gagner l’aller-retour et on gagnera quelques minutes.
Enfin on sait très bien que dans l'arrêt cardiaque on est en terme de minutes puisque tout le monde est d’accord pour dire que une minute de perdue c’est 10 % de chances de survie perdu pour la victime”.
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